30.12 > 03.01
Bruno Ruiz peut mieux faire…
Cave Poésie
Genre : Théâtre
Salle : Cave
Durée : 75mn
Tarifs : 8€ | 12 € | Pleins Feux
1 représentation le soir du réveillon du 31 décembre à 19H30. Tarif (avec une coupe de champagne) : 20 euros ou 15 euros (tarif réduit pour demandeurs d’emploi ou étudiants). Réservation obligatoire au 05 61 23 62 00, ou par mail contact@cave-poesie.com ou au bureau de la Cave Poésie René Gouzenne.
La Presse unanime !
« C’est tellement profond qu’on y voit rien. » Le Trou noir de Lamothe-Cumont
« Enfin on comprend ce qu’il veut nous dire. » L’Hibernation
« Un authentique troubadour des temps modernes ! » La Détresse du Midi
« Y’a tellement de sens qu’on s’en met partout » Pedro d’Arcachon en Micro trottoir
Récital hybride, inclassable, fait de fragments, de récits, d’entretiens, de chansons, de scansions, de réflexions, d’aphorismes, de souvenirs, de monologues, de sketchs, de poèmes, Bruno Ruiz peut mieux faire… rassemble des éclats de paroles sur plus de vingt ans d’écriture et dessine en creux un autoportrait inattendu, souvent cocasse et un peu hors cadre.
la presse en parle...
« Le « poète de music hall » propose un nouveau spectacle qui lui permet de jouer de toutes les facettes de son amour des textes, de la poésie, de la chanson, de l’humour et… des planches ! (…) On rit beaucoup, bien sûr, mais on chagrine aussi un peu. Les textes qui se succèdent, voire se heurtent, sont de toutes les époques, des paroles de chansons de ses débuts en 1972, à l’histoire très émouvante, osée tout récemment, des marques noires de chaussures sur le sol laissées par un gosse inhibé car incertain d’avoir sa place quelque part. Bruno se donne rendez-vous avec lui-même en scène. Il se balade sur ses traces, en équilibre sur le fil de ses fidélités, avec pour balancier l’humour et l’émotion, évoquant l’enfance, l’amour, Arcachon ou Toulouse, l’Espagne des républicains de l’exil, la fierté et l’humiliation des pauvres, la parole chaleureuse, le verbe populaire et la fulgurance du poème. »
Michel Baglin, Revue Texture
« Bruno Ruiz fend l’armure et pour sortir du ghetto de poète-chanteur, il se revendique haut et fort en poète du music-hall. Il se définit à la fois comme l’enfant de Bourvil et celui de René Char. « J’aime René Char et Bourvil, cela ne m’a jamais posé de problèmes d’identité ». Pour lui ce n’est pas un grand écart, mais une réconciliation avec lui-même. »
Gil Pressnitzer, Culture 31